Expert en bonheur
pour toi qui débute (mais qui a du beat)
À toi qui veut découvrir le monde. Voyager. Savourer la plus grande liberté géographique. À toi qui veut pouvoir faire ce que tu veux, quand tu veux. Que l’argent ne soit plus un obstacle. Que les frontières non plus. Voici mes meilleurs conseils pour vivre pleinement ce merveilleux mode de vie.
TEMPS DE LECTURE : 25 MINUTES
Ambiance musicale suggéréepour davantage savourer l’article
Ça m’a pris 3 ans.
3 ans pour passer de zéro revenu à pouvoir vivre entièrement des revenus de ma business et vivre pleinement le travel lifestyle.
Maintenant que j’aide les gens à vivre leur vie idéale, voici les erreurs que j’ai commises et que je vois tout plein de gens qui débutent faire également.
Prendre conscience de tout ça devrait t’aider à accélérer ton décollage vers la gloire infinie, et plus loin encore.
Les 43 pays que j’ai visités
Les erreurs de ceux qui débutent(mais qui ont du beat)
1. Regarder ceux qui sont plus avancés que toi plutôt que ceux qui le sont moins.
2. Penser qu’on a besoin d’avoir toutes les réponses
3. Ne pas charger assez cher et essayer de trouver beaucoup de clients
4. Focusser sur les formations plutôt que sur l’expérience et les témoignages
5. Faire la pute trop longtemps
6. Attendre que les clients viennent vers soi plutôt que d’aller vers les autres
7. Ne pas être suffisamment personnel et vulnérable
8. Être isolé dans sa détresse
9. Focusser sur les stratégies marketing plutôt que sur offrir énormément de valeur
10. Manquer de persévérance
11. Ne pas être suffisamment aligné sur une activité de coeur
12. Reculer devant la peur
Je vis en Colombie depuis 2 mois
1. Regarder ceux qui sont plus avancés que toiplutôt que ceux qui le sont moins.
Quand on commence, on concentre habituellement toute notre attention sur les gens qui ont déjà accompli ce qu’on veut accomplir. C’est normal, on regarde nos idoles. On se compare et on se dit qu’on n’a pas les mêmes capacités que ces gens plus avancés. Et c’est vrai. Ce que j’aide mes clients à faire, c’est de tourner leur regard vers les gens qui sont MOINS avancés qu’eux. La façon dont ça fonctionne, c’est qu’on paye les gens qui sont plus avancés que nous, et on se fait payer par les gens qui le sont moins. Tout le monde, TOUT LE MONDE a des expériences de vie qui ont de la valeur pour les autres. À TOUT MOMENT on peut commencer à aider les autres et à se faire payer. Le meilleur moment pour commencer, c’est maintenant. La différence entre les gens qui ont du succès et ceux qui n’en ont pas? Ceux qui ont du succès ont déjà commencé il y a longtemps.
2. Penser qu’on a besoin d’avoir toutes les réponses
J’ai commencé le coaching en organisant un groupe de discussion sur l’indépendance financière. Je n’étais pas indépendant financièrement, et je ne le suis toujours pas. En fait, je n’ai même plus le désir de l’être parce que j’adore ce que je fais. Par contre, simplement en réunissant des gens intéressés par un même thème, je me plaçais dans une position de leadership et les gens me donnaient déjà un peu plus d’autorité sur le domaine. Pourtant, je n’apportais pas de réponses, je ne faisais que diriger la conversation. Tout le monde peut commencer le coaching de cette façon. J’ai souvent des clients qui ont peur de faire du coaching parce qu’ils croient qu’ils feront face à des situations qu’ils ne savent pas gérer. Pas besoin d’avoir peur: ça va arriver. Ça m’est arrivé. Mes plus grands moments magiques ont d’ailleurs été de répondre à mon client: «Je ne sais pas. Toi, qu’est-ce que tu ferais?» Immanquablement, mes clients connaissaient la réponse. Un bon coach, selon moi, c’est un bon miroir. Mon rôle est de diriger adéquatement l’attention de mes clients pour qu’ils puissent trouver eux-mêmes leurs réponses. Oui bien sûr, je partage aussi mes expériences personnelles et je me base sur les cas similaires que j’ai vécus, mais il y a toujours un grand pouvoir de ramener l’autre à soi-même sans lui donner toutes les réponses.
J’ai vécu 6 mois au Mexique
J’ai vécu 4 mois à Taiwan
3. Ne pas charger assez cheret essayer de trouver beaucoup de clients
Mon erreur au début était de charger à l’heure. Si j’offre à un client de l’aider pendant une heure, il va venir me voir une fois, deux, peut-être trois, et souvent ça va se terminer là. Ensuite je dois trouver un autre client, et un autre, et un autre. Maintenant, je cherche moins de clients, mais j’établis des connexions plus fortes avec ceux que je trouve. Ça m’a pris du temps à comprendre mais, une business, c’est comme avoir des amitiés payantes. Est-ce que tu préfères avoir 100 amis, mais aucun qui se présente pour t’aider à déménager? Ou tu préfères avoir 10 amis, avec qui tu développes des liens très profonds et qui sont prêts à tout faire pour toi? Ce qu’il faut faire, c’est trouver des gens avec qui on résonne très fort, créer une solide relation avec eux, et leur offrir un accompagnement de longue durée. C’est BEAUCOUP plus facile de trouver un client qui va te payer 2000$ que d’en trouver 20 qui vont te payer 100$. Même montant, beaucoup moins d’efforts avec la première option. En plus, c’est beaucoup plus agréable de travailler étroitement avec les gens, sur une longue période. Je peux voir leur évolution, alors c’est plus satisfaisant pour moi. Les gens que j’accompagne vivent aussi des progrès plus importants, alors ils reçoivent plus de valeur et sont davantage satisfaits. Ce que j’adore le plus c’est que, quand je démarre un nouveau programme, mes meilleurs clients achètent sans même poser de questions. Il sont habitués à la qualité de ce que j’offre alors il n’y a pas de résistance à la vente. Ce sont ces clients-là qu’il faut dénicher et ces relations-là qu’il faut cultiver. La grande distinction, c’est que ça demande plus de courage et de confiance de demander 2000$ à quelqu’un que de demander 100$. J’aide donc mes clients à développer cette confiance et cette solidité intérieure.
4. Focusser sur les formationsplutôt que sur l’expérience et les témoignages
Je suis plutôt contre les formations. Les formations, ça formate. Ce que la plupart des gens cherchent en faisant des formations, c’est la confiance. Malheureusement, la grande majorité des gens réalisent en cours de route que la confiance se trouve très peu dans les certifications : elle se trouve plutôt dans l’action. Il faut se mettre de l’avant, oser se lancer. Au fur et à mesure qu’on travaille avec des clients, notre confiance augmente. Plutôt que d’accumuler les formations, il faut accumuler les témoignages de gens à qui on a fourni de véritables résultats concrets. Plus on a aidé de gens, plus notre expérience augmente, plus notre confiance augmente, plus notre prix augmente. J’aime bien dire aussi qu’on ne devrait jamais payer ses propres formations. Ce sont nos clients qui devraient le faire à notre place. Le bon ordre des choses, selon moi, c’est d’aider les gens, se faire payer et aller chercher les outils qui nous manquent en se payant des formations avec l’argent qu’on a gagné avec nos clients. En mettant les activités dans cet ordre, on s’assure une belle progression de notre business.
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5. Faire la pute trop longtemps
Quand j’ai commencé, j’acceptais l’argent de n’importe qui qui voulait m’en donner. Je prenais des clients avec qui j’avais moins envie de travailler. Je ne chargeais pas de frais pour les annulations de dernière minute. J’acceptais de travailler les soirs et les fins de semaine. Bref, je disais oui à tout. Au début, c’est normal. Mais, le plus rapidement possible, c’est important de se respecter. Les clients vont nous respecter à la hauteur du respect qu’on a pour soi-même. Soudainement, quand je disais à mes clients que j’avais des frais d’annulation de 60$ pour un rendez-vous reporté moins de 48 heures à l’avance, plusieurs trouvaient la disponibilité pour se présenter quand même. Soudainement, quand mes seules disponibilités étaient les lundis et mardis, les gens étaient capables de s’adapter à mon horaire. Mais le moment le plus important de tout ce processus a été lorsque j’ai commencé à refuser de servir certaines personnes. Quand je n’ai pas envie de le faire, je ne le fais pas. Je dis simplement que je ne suis pas la meilleure personne pour les aider et je les réfère à quelqu’un d’autre. Il y a un énorme pouvoir qui vient avec la capacité à dire «non». C’est un puissant message qu’on s’envoie à soi-même par rapport à la valeur qu’on s’accorde. En travaillant uniquement avec des gens avec qui on a véritablement envie, on a plus de plaisir, on offre un meilleur service et on peut même augmenter son prix beaucoup plus facilement. Tout le monde gagne. Une question que je me pose sans cesse et que j’encourage mes clients à se poser est: «Est-ce que je le ferais gratuitement?» J’accepte maintenant seulement l’argent des gens pour qui la réponse est «oui».
6. Attendre que les clients viennent vers soiplutôt que d’aller vers les autres
Mon premier projet en 2013 a été de créer un blog. J’avais lu qu’on pouvait faire beaucoup d’argent avec un blog. Et c’est vrai que c’est possible. Mais le pourcentage de gens qui réussissent de cette manière est minime. (C’est vrai pour pas mal de domaines, d’ailleurs!) Après un an d’efforts quotidiens acharnés, je n’avais toujours pas fait d’argent. Par contre, j’avais écrit beaucoup d’articles. J’ai donc tout mis ça ensemble, j’en ai fait un ebook que j’ai publié sur Amazon. Victoire! J’ai fait mon premier 200$ en un mois. J’avais découvert l’importance de se brancher sur une grande source de trafic. Ensuite, j’ai eu un autre blog, puis un autre, j’ai créé ma page Facebook, un podcast, j’ai offert mes services à rabais, j’ai organisé des groupes de rencontres hebdomadaires et j’ai donné beaucoup de conférences. Bref, j’ai essayé pas mal de choses. De tout ce que j’ai essayé, LA chose qui m’a permis de faire le plus d’argent, DE LOIN, c’est d’aller vers les gens. C’est la chose qui rend les gens qui commencent le plus inconfortable. C’est la chose qui fait le plus peur. Et c’est aussi la chose qui est la plus lucrative. Surprenamment, c’est beaucoup moins pire que ça en a l’air. 99% réagissent très bien à se faire approcher, et c’est juste une très petite minorité qui réagit mal. C’est donc une croyance que j’ai dû changer avec le temps et j’aide maintenant les autres à se désensibiliser face à la peur du rejet. C’est fascinant la quantité de belles rencontres que j’ai faites en allant vers les autres, autant en trouvant des clients que des partenaires. C’est donc quelque chose que tu vas devoir apprendre à faire si tu veux progresser plus rapidement.
Voyage de vélo avec mon père
J’ai vécu 5 mois en Californie
7. Ne pas être suffisamment personnel et vulnérable
Dans mon premier blog et mes premières conférences, je présentais beaucoup le matériel des autres. Avec les gens qui débutent, je vois énormément passer de citations futiles, mais très peu d’expériences personnelles et de démonstration de vulnérabilité. C’est normal, on a moins d’expérience au début. Mais, le plus rapidement possible, c’est important d’apprendre à se dévoiler, à se rendre vulnérable et à partager son histoire personnelle. C’est ça qui accroche les autres. C’est comme ça que les gens vont résonner avec nous et vouloir établir une relation plus profonde. Comme avec tous les points de cet article, faire ce qui est le plus difficile et le plus entouré de peurs est aussi ce qu’il y a de plus payant. Je suis fasciné de voir à quel point les gens s’ouvrent facilement à moi et me font confiance rapidement. C’est parce que je m’ouvre en premier que les autres peuvent le faire aussi aisément. Je parle ouvertement de ma dépression, ma période suicidaire, ma faillite, mes dépendances, mes difficultés, mes échecs, ma honte et tout le reste que biens des gens n’osent pas aborder. Une fois que je me suis ouvert et montré vulnérable, j’ai créé un climat propice à la confiance et à l’ouverture, les gens viennent naturellement me voir pour me parler de ce qui ne va pas, et je peux les aider.
8. Être isolé dans sa détresse
J’ai été très isolé pendant très longtemps. Oui, je voyais des clients, mais je n’avais pas de collègues. La détresse d’être seul, dans le doute, dans le découragement a parfois été très profonde. En plus, le grand piège du monde du coaching, c’est que tout le monde croit qu’il faut montrer qu’on va bien pour obtenir des clients. Après tout, qui donnerait son argent à un coach qui ne va pas bien? Pourtant, j’ai constaté que la détresse parmi les coachs est très grande. Après tout, si on a une aussi grande impulsion à vouloir aider, c’est parce qu’on a vécu des difficultés et qu’on a besoin d’aide soi-même. J’ai tellement eu de périodes de doutes et de découragement, et je n’ai pas osé ou eu la force d’aller chercher l’aide dont j’avais besoin. Aujourd’hui, j’ai la maturité de me montrer vulnérable devant les gens, mes amis, mais aussi mes clients. Ça fait une énorme différence! Je pense maintenant que LA chose la plus importante quand on ne va pas bien est de s’ouvrir aux autres. SURTOUT quand on est en relation d’aide, c’est excessivement important d’aller chercher de l’aide pour soi-même. Tout le monde en a besoin.
8 mois en Allemagne
6 mois en Nouvelle-Zélande
9. Focusser sur les stratégies marketingplutôt que sur offrir énormément de valeur
Ce n’est pas difficile de faire de l’argent… quand on a véritablement à cœur le bien-être des autres. Je vois généralement deux types de personnes: ceux qui étudient les stratégies marketing pour faire plus d’argent, et ceux qui ne sont pas à l’aise de demander de l’argent. J’ai essayé les deux. Ce que ça prend, c’est l’équilibre. Au début, tout était centré sur moi. Je voulais faire de l’argent en ligne pour pouvoir voyager. J’ai essayé plein de stratégies pour devenir riche rapidement. J’ai aussi poursuivi le rêve du revenu passif. Fort heureusement, rien de tout ça n’a fonctionné. Progressivement, j’ai été obligé de m’ouvrir, j’ai commencé à offrir de la vraie valeur, et je suis tombé dans le piège inverse: celui de ne pas avoir confiance en ma valeur et d’overdeliver. J’avais une peur atroce que les gens trouvent que je charge trop cher, alors je m’assurais de donner tellement de valeur qu’il était pratiquement impossible pour qui que ce soit d’être insatisfait. Par contre, en faisant ça, je me suis brûlé. Ça me fascine parce que j’ai trouvé beaucoup plus difficile de charger 2000$ pour 20 heures que 100$ pour une heure. Pourtant, c’est le même tarif horaire. Mais, dans ma tête, dans le premier cas, j’avais besoin de satisfaire mon client à la hauteur de 2000$ alors que, dans le deuxième cas, j’avais seulement besoin de le satisfaire à la hauteur de 100$ à chaque fois, ce que je trouvais beaucoup plus facile. Avec le temps, j’ai appris à améliorer l’histoire que je me racontais à moi-même.
10. Manquer de persévérance
Le chemin vers le succès est long et semé d’embûches. Il n’y a rien dans les actions individuelles qui est difficile à accomplir, mais c’est le manque de persévérance qui empêche beaucoup de gens de réussir. Et la peur est un barrage qui piège beaucoup de gens dans des détours interminables. C’est pour ça que j’insiste énormément sur le fait qu’il faut trouver une activité qu’on ferait gratuitement toute notre vie. Quand on a ça, on ne compte plus les efforts et on est prêt à surmonter les obstacles plus facilement. Il faut trouver une forte raison émotionnelle d’avancer. Un feu qui brûle tellement fort, qu’on ne laissera pas démonter par les échecs. J’ai développé une excellente expertise pour aider les gens à trouver ce feu et le garder allumé. C’est d’ailleurs pour ça que j’ai appelé mon programme Feu din tripes. Pendant plusieurs années, j’avais un feu très fort, mais dispersé. J’avais énormément de facilité à démarrer des projets, mais je me tannais rapidement et j’avais de la difficulté à persévérer. Avec les années, j’ai appris à maîtriser toute la puissance de ce feu. En canalisant mes énergies sur le long terme, c’est là que ma business a pris son véritable envol.
5 mois en Belgique
1 an en Écosse
11. Ne pas être suffisamment aligné sur une activité de coeur
Je n’aide pas les gens qui veulent obtenir leur indépendance financière par l’investissement immobilier, l’investissement boursier, par la cryptomonnaie, par le marketing de réseau ou tout ce qui ressemble à ça. Tous ces exemples peuvent mener à l’indépendance financière et permettre la vie de rêve qu’on souhaite. Par contre, je n’ai encore jamais rencontré de gens qui faisaient de l’investissement immobilier uniquement pour le plaisir d’en faire. Même chose pour le marketing de réseau et les autres sortes d’investissement. Ceux qui souhaitent prendre ce chemin, c’est génial. Mais personnellement j’aime accompagner les gens qui font des activités directement alignées sur leur cœur. Ma grande question est toujours: est-ce que tu le ferais gratuitement? Si tu savais que l’investissement immobilier n’allait jamais te rapporter d’argent, et même que tu devrais payer toute ta vie pour continuer d’en faire, est-ce que tu le ferais? Si la réponse est oui, alors continue! Si la réponse est non, je crois que tu n’es pas centré sur le cœur. Très régulièrement, je rencontre des gens qui cherchent des façons rationnelles de vivre leur vie de rêve avant même de s’être permis de véritablement rêver. On sait qu’on veut voyager ou qu’on veut plus de liberté, alors on cherche des façons d’accomplir ce rêve. C’est normal. Mais, les gens se perdent ensuite dans le «comment» plutôt que de rester centrés sur leur rêve. Selon moi, les activités lucratives qui vont nous mener à notre rêve de la façon la plus directe sont les activités qu’on ferait gratuitement, toute notre vie, par pur plaisir. Par contre, la façon la plus directe est aussi celle qui est la plus encombrée de peurs. C’est donc la plus grande partie de mon travail: aider les gens à traverser leurs peurs pour aller le plus directement possible vers leur rêve. Sans ce chemin direct, c’est souvent comme ça qu’on se lance inconsciemment dans des détours comme l’investissement et qu’on n’arrive jamais à destination parce qu’on est trop loin de ce qu’on souhaite véritablement. La persévérance est plus difficile quand on est moins centré sur l’activité qu’on ferait par pur plaisir gratuitement toute notre vie.
12. Reculer devant la peur
Les quelques premières fois où j’ai fait du coaching, j’avais peur. J’avais le cœur qui débattait dans ma poitrine. Je ne savais pas vraiment ce que je faisais. Les quelques premières fois que j’ai chargé 20$/heure, j’avais peur. Les premières fois à 30$, à 50$, à 60$ et à 120$. La première fois que j’ai offert un package à 290$. Les premières fois que j’ai offert un programme à 1400$. Les premières fois à 2000$. À 2400$. Et à 5000$ À toutes les étapes d’augmenter mon prix, j’ai eu peur. J’ai été inconfortable. Je me souviens tellement bien de la première fois où j’ai dit que mes services coûtaient 2000$. L’inconfort au téléphone. Le silence interminable… suivi du oui! Je ne le croyais pas! Il a dit oui! Qu’est-ce que je fais ensuite? Je continue à trouver d’autres clients! Le but n’est donc pas de ne pas avoir peur. Le but est d’avoir peur, et d’avancer quand même. Toutes les raisons pour ne pas commencer sont des variantes de la peur. Le jugement de soi, ne pas avoir le temps, ne pas mettre son projet en priorité, la procrastination, ne pas avoir l’argent, etc. Selon moi, TOUTES les raisons que les gens me donnent pour ne pas vivre leur meilleure vie sont des dérivés de la peur. Avoir peur, c’est bon signe: ça veut dire que tu vas dans la bonne direction. Comme je l’ai écrit plus tôt, à chaque augmentation de prix pour mes services, j’ai eu peur. Et j’ai encore peur aujourd’hui. J’ai l’ambition d’offrir des services encore plus proches de mon cœur. J’ai envie d’emmener les gens dans des voyages de transformation. Mais je ne le fais pas encore… parce que j’ai peur. Je continue mon processus d’expansion en traversant mes peurs, une étape à la fois. C’est d’ailleurs de cette façon que j’aide mes clients. À l’époque où je donnais beaucoup de conférences, ça me fascinait la quantité de gens qui venaient me voir pour me dire à quel point ils admiraient que je n’aie pas peur. À ça je répondais toujours: «LOL! J’ai fucking peur! … mais je le fais quand même.» Le courage, ce n’est pas l’absence de peur. Le courage, c’est d’avoir peur, mais de le faire quand même. Quand quelque chose nous fait peur, il faut le décortiquer en petites actions plus simples à réaliser. Avec le temps, on réalise qu’on a inconsciemment traversé la grande chose qui nous faisait peur… et qu’on est train d’écrire cet article en voyage, au soleil sur une terrasse, en vivant notre best life.
Mon voyage en Égypte
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